Dernière mise à jour : 13/04/2013

Historique de montage
Baroudeur SE 5003 de Replica
Montage précédent : Albatros DIII
Montage suivant : Loire 46

Descriptions

Images

Je change d'exercice : Voilà une maquette "résine intégral" (sauf la verrière bien sûr). Collage cyano obligatoire, du coup, attention avant de poser chaque pièce, surtout les fines, cassantes. C'est Réplica qui est à l'origine de cette fabrication, grand spécialiste de la résine, et qui s'est associé à Air Magazine pour éditer cet appareil qu'on rencontre rarement chez les autres fabricants. Ceci dit, il faut remarquer l'erreur dans le titre sur la boite ; Baroudeur est écrit sans U, à l'américaine...

Les décalcos sont jolis, j'espère pas trop vieux et en bon état. Le code V semble être un des 3 appareils de présérie SE 5003. Au préalable, 2 prototype nommés SE 5000 avaient permis sa mise au point, mais aucun de série n'a suivi.

Peut-on appeler ce descriptif un plan ? Vu le peu de contraste des photos, heureusement qu'il y a un n° à chaque pièce (avec nommenclature fournie) qui aidera à repérer les pièces mais pas forcement leur position.

Sur la nommenclature (justement), je repère les pièces. Après les avoir décrochées, limées et poncées, je les positionnes sur le descriptif, ou à peu près. j'ai tout repéré, c'est plutôt bon signe !

           

Pour l'instant dans l'ordre du "plan", je commence par le poste de pilotage, simple il faut l'avouer, limité au siège et au manche à balais. Il y a quand même un tableau de bord à coller sous le dessus du poste. En revanche, contrairement aux indications, je ne mettrai pas le nez, trop fin et trop fragile, pour l'instant.

En parallèle, je prépare également le chariot de décollage. A oui ! Cet appareil décolle sur un chariot éjectable et atterrit sur des patins ventraux. Cela rappelle un peu le principe du Me 163 allemand, non ?

Assemblage de la partie supérieur du fuselage sur le poste de pilotage. Je rencontre un léger effet de ressort qui suffirait à m'agacer... 3 pinces en viendront à bout pour bloquer la pièce définitivement.

Assemblage de l'aile (en un seul morceau et enveloppant dessus du fuselage. Un peu de mastic est nécessaire pour parfaire les joints et un bon moment de ponçage après séchage. Idem après l'installation des entrées d'air. Mise en croix achevée par la pose de la queue. Le montage est relativement facile si ce n'est le collage, trop rapide quand il faudrait ajuster et trop lente quand c'est bon du premier coup. En revanche, les doigts ou la pince colle tout de suite ...

En parallèle, positionnement et collage des garde-boue arrière sur le chariot.

Et des éléments transversaux qui soutiendront l'avion par la suite. Il y a pas mal de part d'interprétation dans le "plan" fourni...

Du coup, il y a des choses qu'on doit reprendre quand on s'aperçoit que ça ne va pas... Heureusement dans ce cas, ce n'est que la traverse centrale (sur le charriot) qui ne tenait vraiment pas très bien. Derniers ponçages, mise en place de la "flèche nasale" et je cache le poste de pilotage en préparation de la peinture.

Et un passage alu à l'aérographe, un ! Sur le dessus...

et sur le dessous. L'effet granuleux persiste mais est bien moins prononcé qu'il l'avait été pour le Vautour. J'ai en fait repris mon ancien pistolet à peinture, qui a une buse de sortie plus large. C'est peut-être la bonne solution avec ce type de peinture "métal".

La découpe de la verrière en thermoformé est toujours délicate. Ici, elle n'était pas trop dure et n'a pas craquelé à l'approche des ciseaux. Les traces de colle deviennent transparentes en séchant et ne se voient plus.

Le chariot pratiquement fini. J'ai rajouté deux calles sur la barre arrière pour bien stabiliser l'avion qui avait tendance à glisser.
Voir la fiche finale du Barouder SE 5003
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