Descriptions

Retour sur une maquette Azur, ya moins de résine que chez réplica. A regarder le montage des trains, ça va encore être marrant ! Mais je n'en suis pas encore là. A souligner que le descriptif pour eux se limite d'un côté à énumérer les pièces, genre 1 + 2 + 3 ... Le plastic est joli bien qu'un petit travail d'ébarbage sera nécessaire sur certaines pièces.

La planche de décalco est belle aussi, neuve en fait et sous blister. 2 déco sont proposées, une espagnole (armé) et une française. Laquelle je vais faire ? Quelle question !

Pour le repérage des couleurs, c'est clair et net ! de grosses lettres comme référence, le nom de la couleur et son n° Humbrol. Un coup d'oeil sur le tableau de correspondance, et les voilà en place sur l'étagère.

Je peux commencer à peindre les pièces sur grappe.

Le poste de pilotage est rudimentaire. la difficulté réside à essayer de coller les photodécoupes (métallique) à la cyano, sans coller les doigts ni les pinces. sont concernés les harnais, les palonniers, le tableau de bord et la manette de gaz (je crois) à droite du pilote.

Vu de l'ensemble dans le demi fuselage droit.

Le carénage des roues est en 2 parties emprisonnant la roue. Si j'ai bien interprété le plan, je le suis à la lettre en faisant passer un axe entre les 2 morceaux en enfilant la roue au passage. Pour l'axe, je me sers d'étiré d'une section parfaitement pifométrique, mais ronde.

Le moteur étant en résine, son collage se fait à la cyano, dans une première moitié du capot d'abord. Il a préalablement été peint en noir avec un drybrush alu sur les reliefs des cylindres. Il restera à l'enfermer en collant les deux demi capots entre eux à la colle normale, puis par sécurité poser une ou deux goutes de cyano par l'arrière entre le moteur et la seconde partie du capot.

Le temps que tout ça sèche, j'assemble le fuselage autours du poste de pilotage. Les pinces sont là par sécurité pour éviter l'effet ressort dès qu'on tourne le dos.

Ca aussi, il faut que ça sèche ! je finis donc d'assembler les roues et monte la queue du Loire. L'aileron horizontal arrière est unique sous l'arrière du gouvernail. Quatre mats retiennent l'ensemble formant un V pas tout à fait assemblé à la flèche, du coup, pas forcément évident à poser.

Le fuselage sec, je lui applique son aile unique supérieure. Avec l'axe moteur bas, il a une sacré allure. Le plus dur sera de mettre les trains dessous.

en attendant, fin de la mise en croix. Je place le bloc moteur sur le nez et je peindrai le dessous, puis le dessus avant de m'attaquer aux trains avant.

Oups ! j'ai peint le dessous, passé le klir pour éviter l'arrachement par les bandes caches et placé ces dernières sans faire de photo du dessous... pardon !

Bon ben je continue quand même, je ne vais quand même pas les enlever avant de peindre le dessus. Je commence comme conseillé sur d'autres posts par la couleur le plus claire, le gris bleu clair. Je passe cette couche quasi uniformément sauf sur l'aile gauche parce qu'il y a mon doigt (à un endroit choisi car recouvert par les deux autres teintes).

J'ai donc ensuite passé successivement le marron rougeâtre et le vert foncé, toujours à l'aéro et à main levée sans autres caches que ceux de dessous. Il semble en effet que les jointures entre les couleurs doivent rester assez floues.

Vue une fois les caches enlevés et le klir passé. Je reprendrai plus tard les mats de la queue en même temps que ceux des trains qui semblent devoir être couleur alu.

J'ai beau tourner tous les mats de la boite dans tous les sens et les mesurer, il en manque, c'est peut-être voulu... je ne sais pas... en tout cas, je ne perds pas plus de temps que ça et je refais en étirés ceux qui manquent. après de savant calcul (carré de l'hypoténuse en tout le toutim...) je monte et colle au préalable les deux triangles intermédiaires entre les gros mats avant et arrière des train.

Le place ensuite les jambes des trains entre les boursoufflures sous les ailes et en bas du fuselage, puis le gros mat arrière, parallèlement à son homologue de devant.

Je pose les triangles entre les mats avant et arrière de chaque train ; je tente d'aligner au mieux le petit mats vertical à la barre de devant... faut pas trembler ! Reste à placer les carénages des roues, l'appareil est coincé dans un pot pour éviter que les blocs roue glissent avant la prise de la colle.

Pour les finitions, je place enfin l'hélice, les antennes dessous et dessus le fuselage, ainsi que le "patin" arrière.

Autre vue de dessous derrière...

... et vue de dessus avant décalcos.