Dernière mise à jour : 23/03/2020


Box art
Historiques de montage
North American O-47A de AML
Montage précédent : Bréguet Alizé
Montage suivant : Loire 130

Descriptions

Visuels

On se calme ! Je n'ai fait que déballer la boite :-). Les pièces sont mal dégrossies et il va y avoir du travail d'ébarbage.

Les décalcos ont bien tenu le choc malgré l'âge présumé (vieille) de la maquette. C'est l'état des verrières qui me fait dire ça !

Donc, avant de commencer, quelqu'un a-t-il une idée pour déjaunir ces verrières ? J'ai posé la question sur un forum et les réponses ont hélas confirmé ce que je pensais, y a pas moyen (connu en tout cas).

Du coup, j'ai essayé de faire un moule en plâtre dans une des canopées... fiasco le plâtre part en morceaux dès qu'on démoule. Je laisse ça de côté pour le moment.

Voici les peintures préconisées par AML pour cette maquette.

Je n'aime pas les photo découpes et les maitrise très mal. Ici, je n'ai pas le choix la pièce n'existe pas en plastique. Je bricole donc comme je pense que c'est bien (ou pas trop mal) le tableau de bord.

En parallèle, je peins quelques petites pièces sur grappe, même si, après ébarbage, il faudra des retouches.

Préparation des éléments intérieurs, poste de pilotage, sièges des navigateur et observateur.

Peinture et collage du moteur en étoile sur sa cloison et préparation de l'hélice. La cloison support de l'appareil prise de vue est mise en place, après découpe d'un trou sous les deux demis fuselage où viendra une verrière ventrale.

L'ensemble des planchers et cloisons intérieurs sont collés dans le demi-fuselage droit. Fort de l'expérience des appareils à flotteurs, je plombe déjà le nez avec un plomb de 10 gr, maintenu par un amas de colle blanche (séchage 24 h au moins)

En attendant, je prépare les ailes, maintenues avec des pinces pour éviter l'effet ressort et assurer l'adhérence au collage.

Trop vite : 'ai oublié de poser, par l'intérieur les faux volets qui obstruent les fosses de trains. Il a donc fallu bricoler pour les rentrer par l'extérieur en utilisant la pince (pas à linge, celle de prise) pour guider dans leur logement. La colle liquide fait le reste, mais une des pièces tendance ressortir. Je la bloque donc en mettant du poids (pince sur bras plus poids de la loupe) le temps que la colle prenne suffisamment.

Les légères aspérités sont assez vite ajusté par ponçage à la toile émeri de 400 d'abord, puis de 600 pour lisser. Il faudra plusieurs traitement pour avoir un résultat à peu près convenable.

Préparation de flotteurs (dégrappage et ébarbage) et mise en place de plombs supplémentaires (15 gr dans chaque) à l'avant. Ils sont collés à la cyano, avec du talc (ou de la farine) pour faire corps et accélérer le séchage.

Avec le confinement imposé, je vais avancer :-). Assemblage des flotteurs ; pas simple car les deux parties sont courbes vers l'extérieur. Les pinces sont donc absolument impératives pour maintenir les deux demis flotteur, bord à bord. Oui, pour les deux !

Au tour du fuselage à assembler. Les pinces, ici sont juste là pour tenir les deux parties.

Vue du fuselage, avec le moteur mis en place à l'avant. Un peu de travail de masticage sur les jointures ne sont pas inutiles.

Pose de l'empennage et du capotage moteur.

Début de mise en croix ; maquette sur le flan gauche (ça tient tout seul), et collage de l'aile droite, maintenue par la pince sur support lourd.

On ne change pas une équipe qui gagne, tant que la longueur de l'aile tient dans le gobelet. L'aile déjà collée est callée dans le gobelet, et je colle l'aile gauche, toujours maintenue par la pince (c'est bien pratique ce petit truc là !).

Mise en place des stabilisateurs et fin de la mise en croix.

Je m'entraine à découper les plastiques transparants jaunis et le pose à blanc sur leur emplacement respectif. Ca semble ben fonctionner, mais il faudra boucher les extrémités des verrières sous aile devant et derrière par de la colle blanche.

Je découpe donc la seule plaque qui n'a pas jauni et qui corresponds aux éléments inférieurs. Collage et bouchage des trous.

Mise en place des mats verticaux sur les flotteurs et peinture alu une fois sec.

Mise en peinture du dessous en gris medium et vernis au Klir.

Peinture de dessus, après masquage du gris, et vert olive drab.

Et on en arrive à la partie marrante ; la pose des flotteurs. Le plombage les rend lourds sur l'avant. Je me sers des calles en bois (pour les biplans) et je bricole des supports en carton épais pour les maintenir, à l'avant (6 cm) comme à l'arrière (4,2 cm). Des mini pinces finiront de les caller sur les côtés.

Une fois les flotteurs en place (mais non collés) je positionne les mats obliques en Z (l'un d'abord, l'autre quand le premier tiendra) et ajuste l'écart avec les flotteurs. Une fois tous les contacts établis je pose un goute de colle liquide tamiya à chaques points. Une fois tout bien sec, j'assurerai la prise avec une goutte de cyano sur tous les points de contact.

Vue sur ses flotteurs

Dernière étape, La pose des roues pour le déplacement sur la terre ferme, l'échappement et les prises d'air que j'avais oublié. Je vais y placer les décalcos et m'arrêterai là, en attendant de trouver une verrière de meilleure qualité.

Voir la fiche du North American O-47A
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