Descriptions

En revanche, ça, ça va être du lourd ! Un biplan Bloch-Potez de la fin de la 1ère guerre, arrivé trop tard pour participer aux combats. De la marque JFR Team (FSC), Il est à base résine...

La planche de décalco est minimaliste, mais à cette époque, il n'y avait pas grand chose d'inscrit, surtout qu'il n'a servi dans aucune escadrille.

Le plan de montage succinct est digne de cette marque,

en revanche, le "concepteur" du master, A. Roy a eu la bonne idée de mettre sur le site un "pas à pas" qui pourra être très utile ; ici une des double pages.

Et ici une autre...

La première étape reste pour moi la préparation de toutesles pièces, séparées de leur grappe de résine plus ou moins fine, ébarbées, limées et lissées autant que possible.

Comme préconisé dans le montage du maître, je fixe certaines pièces sur des cure-dents en bois, à l'aide de colle blanche. Ca facilitera, normalement la peinture.

J'assemble le bloc moteur au reste du fuselage. La cyano ne tient pas, j'opte donc pour un collage à la colle blanche, on verra si ça marche pour de si grosses pièces.

Peinture des petites pèces sur cure-dents. perçage à la mèche de 1mm des extrémités des jambes de trains et du plan horizontal entre les jambes et collage dans ces trous d'épingle qui guideront les montages à venir.

Montage des postes intérieur.

Mise en place du tableau de bord peint sous le capot avant du poste de pilotage.

Perçage à la mêche de 1mm de l'arrière du fuselage, du plan horizontal arrière et de la dérive, le tout dans l'alignement. Collage dans le fuselage (1er trou) d'une épingle qui, une fois ététée, servira de guide pour placer les deux autres pièces sus-mentionnées.

Mise en place de l'ensemble trains précédentdans des trous en biais (dans l'axe des jambes), après repérage "réél" des emplacement des contacts. Si tout est collé à la cyano, les joints entre les jambes et le fuselage et ceux entre le plan horizontal et la base des jambes sont comblés à la colle blanche, bien plus facile à lisser.

Vérification de l'équilibrage du train avant mise en croix.

Pose de l'empennage horizontal arrière.

Pose de l'empennage vertical avec le gouvernail. Et je bouche tous les trous et jointures à l'amalgamme cyano/talc.

Utilisant les indications du montage de A. Roy, et avec l'aide de mon collègue Gharib, je me procure le même type de support qui devrait me permettre, si je m'y prends bien (ça ne dépend plus que de moi !), de fixer les ailes principales de la maquette. Je commence bien sûr par les ailes basses, l'aile haute sera sans doute plus laborieuse à caller.

Avant le callage et tant que les intérieurs sont accessibles, je perce des trous de 0,3 mm pour le futur passage des haubans. Sous l'aile haute, je fige dans les trous des petits anneaux en fils très très fin, collé à la cyano, et sui recevront les fils de haubannage après montage de l'aile.

Callage de l'aile en essayant de ne pas écraser les anneaux, mais à la bonne distance (j'espère) au dessus du fuselage.

Les premiers mats posés me renseigne sur ma bonne apprèciation de la hauteur de l'aile haute. 4 grands minimum et deux petits sur le capot moteur suffisent dans un premier temps, pourme permettre d'enlever les calles et libérer l'ensemble de la maquette. J'ai, du coup, plus d'espace pour placer les autres mats.

Vue de l'ensemble, tous les mats posés. Va alors commencer le travail dit "d'aiguille", consistant à placer les hauban (fils nylon de pèche de 8/100).

Vous voyez ce que je veux dire ?

Le montage est quasiment terminé, les mats sont peints, il ne manque que l'hélice et les décorations.

J'avais oublié cette prise d'air au milieu des mats intérieur droit. J'opte pour un collage à la colle blanche.