Descriptions

Allez ! Adieu Hélices et hydravions, on va faire dans le "moderne" ! Un petit Eurofighter à réaction, ca va changer. Cette maquette m'a été offerte par ma petite soeur Isa pour mon anniversaire et je l'en remercie ;-). C'est une italeri (la maquette, pas ma soeur) donc de bonne facture coté plastic et les décalcos récents ne devraient pas m'embêter.

D'ailleurs, voici la planche. En accord avec la donatrice, je ferai la version espagnole. Ce sera mon second de cette nationalité après le F5 Tiger.

Je passe au repérage classique des peintures, dénommées sur le plan par les lettres de A à I.

Coloriage tout aussi classique des petites pièces sur les 2 planches de plastic gris. Je me suis permis d'approfondir les éléments dans les fosses de trains et sous l'aérofrein dorsal, ainsi que ceux du poste de pilotage.

Détail des postes de pilotage.

Détail les fosses de trains et d'aérofrein.

Le poste de pilotage est monté. En 2 parties distinctes, l'assemblage n'est pas si facile qu'il n'y parait : Il semble préférable de placer les sièges en dernier après avoir assemblé les deux bacquets. En effet, le siège avant gène le positionnement de l'ensemble tableau de bord arrière qui se glisse dans une encoche derrière ledit siège.

Il reste à enfermer l'ensemble entre les deux demis fuselage.

L'aile (basse) est en 3 parties principales : l'intrados avec le bas du fuselage d'une seule pièce, l'extrados droit et le gauche. Un peu d'interprétation dans le montage de l'entrée d'air vers l'avant limité par le visuel du boxart et les vues de la suite du plan de montage.

Enfin, assemblage des deux dernières parties, le fuselage et l'aile. les pinces n'ont été mises que par sécurité, ça tient bien comme ça..

J'ai failli oublié (comme d'habitude soit dit en passant) de plomber le nez. Il est préconisé 20 gr dans le nez... faudra qu'ils me disent comment ils font. J'ai pu y glisser 13 gr à tout casser (7.5 de plomb de pèche et 5.5 de pâte à modeler pour fixer), et encore, j'en ai glissé une bonne parti dans l'avant du fuselage devant le poste de pilotage. Dans le nez, impossible, mais ça devrait suffire.

Vue du montage avec le nez mis à blanc...

et les plans canards.

La verrière est placé et cachée en vue de la peinture, de même que les fosses de trains. L'aérofrein et juste posé sur sa position avec une goute de colle lègère sur l'avant. Ainsi, il sera peint en même temps que le fuselage et protègera la fosse en dessous. A souligner que le nez est d'un gris plus clair que le reste de l'avion.

Vue du dessus (on voit la verrière), une fois les caches enlevés. Le nez, peint séparément d'un gris plus clair, est collé. La pate à modeler a tendance à rendre difficile la prise de la colle. Attention donc à bien nettoyer les parties en contact et, bien sûr, ne pas attraper l'appareil par le nez.

Retour vers le dessous où les trains et leurs volets sont placés, sans difficulté disons-le.