Descriptions

Je devais avoir perdu la raison quand j'ai acheter cette boite... je devais bien me douter que sa taille ne permettrait pas de le placer dans mes vitrines. Il est gigantesque. Mais quand on aime... Il y aura un travail de réflexion intense au moment de poser les ailes.

Voici deux belles planches de décalcos que je n'utiliserai pas non plus (comme pour le Mustang) puisque j'en ferai également une version française. Du coup, il me faudra fabriquer les décorations qui iront bien.

Les couleurs qui me serviront pendant ce "long" montage.

La dérive donne une idée de la dimention finale de la maquette.

Le poste de pilotage est monté et les décalcos du tableau de bord sont mis.

Les pneus sont peints sur grappe avant montage, comme les trains.

Montage des pneus des trains principaux, sous ailes.

Les trains sont montés, le train avant est dans sa fosse.

Les 4 stades du montage des fuseaux réacteurs.

Les 4 fuseaux assemblés.

Les supports réacteurs eclatés avant montage.

Supports assemblés avec les fuseaux réacteur, les deux premiers sont totalement assemblés.

Le poste de pilotage est mise ne place. Cette vue permet de bien voir la taille du fuselage, par rapport aux divers objets autours (cutter, pinces à linge, pots de peinture...).

Assemblage du fuselage, après avoir placé, sous le poste de pilotage, la fosse et le train avant. Vu la longueur et la souplesse du la structure, Il faut assurer l'assemblage avec de l'autocollant pour un ajustement à peu près précis. Il faut ensuite utiliser la colle liquide de Tamiya, qui agit par capillarité.

J'ai fait une erreur,ou plutôt une omission, J'aurais dû plomber l'avant pour être sûr que l'appareil fini tiendra sur ses roues. La technique n'est pas banale, accrochez-vous ! Je remplis un petit pot de confiture (portion individuelle) d'eau, mais un pot de Tamiya ou Gunze aurait pu faire l'affaire, et je la ferme de manière étanche. Je la glisse par le trou sous le fuselage, assez large. Puis je pose quelques goutes de colle blanche pour fixer le pot. Une fois sec, il ne bouge plus. J'ai terminé l'opération en glissant du papier chiffoné pour finir de caller le lourd pot.

Je peux maintenant coller la base des ailes, et ainsi boucher le trou qui m'a été très utile précédemment. On voit bien que les trains sont sur cette partie, contre le fuselage. Sans aile, ce dernier tiendra donc bien sur ses roues.

Comme indiqué plus haut, je cherche un moyen de poser les ailes, mais en gardant la possibilité de les enlever pour ranger la maquette dans la vitrine. Aprs avoir pris les marques, à la fois sur l'aile et sur le flan du fuselage, je perce des trous pour passer deux tiges métaliques, collées à la cyano au niveau du fuselage pour ne plus qu'elles bougent.

Pose à blanc des ailes pour vérifier que le système fonctionne... et ça semble marcher.

L'étape suivante consiste à mettre les bouts inférieurs des ailes.

Ici commencent des opérations délicates : la pose des réacteurs sous les ailes. La surface de contact n'est pas large et il me semble qu'il sera difficile de les faires tenir solidement, surtout quand il faudra les manipuler pour les "enfiler" et les enlever au gré des expos.

Pose à blanc des ailes avec les réacteurs. Ca donne bien mais il me faudra trouver un truc pour cacher le joint avec le fuselage.

Montage du support du radar... pas simple ! 'ai opté pour un montage des mats avec le support rond sur table, puis une fois sec et relativement solide, pose sur l'arrière du fuselage. Les joints sont bouchés la colle blanche.

Peinture du radar, en commençant par la bande blanche sur les deux moitiés.

Puis verni, cache du blanc et passage du noir.

Les caches sont enlevés et les "dents" noiresreprises au pinceau très fin.

Le demi radar inférieur est posé sur son support rond, mais pas collé.

Un cercle est collé, lui, sur le support rond sans coller le radar. Ainsi ce dernier tournera, emprisonné par les deux pastilles.

Les ailes sont peintes, dessus d'abord, puis verni et ensuite le dessous.

Le radome est assemblé sur ses mats, et il tourne. Reste a faire les retouche la jonction des deux soucoupes.

Je peux enfin monter les trains sous les ailes (partie centrale). Là encore il faudra installer les volets sur les jambes de trains une fois ces derniers bien solides et colle sèche.

Vue les photos des Awacs français, il y a quelques détails qui ne sont pas présents dans la maquette Heller, ce qui m'étonne car je pensais que tous les appareils de l'OTAN avaient les mêmes options... J'ai donc cherché dans mes boites à rabiots, des morceaux que je pourrais transformer pour faire la prise de ravitaillement en vol, une espèce de goitre sous le nez et deux éléments long que je pense être les détecteurs de départ de tir sur les flans avant du fuselage.

Voici retravaillés ce qui représentera les détecteurs de départ de tir.

Ici découpé dans un reste de réservoir ce qui sera le goitre sous le nez.

Et enfin, les deux éléments lissés et assemblés, voilà la perche de ravitaillement en vol. L'embout plus volumineux a été obtenu en trempant le bout dans du surfacer, le laisser sécher, et recommencer une ou deux fois.

Après quelques ajustement par ponçage, les 4 éléments sont mis en place, les joints bouchés à la colle à bois. Il restera à les peindre.

Peinture faite, vue de la bête sans décorations.