Dernière mise à jour : 21/12/2017


Box art
Historiques de montage

SNCASO 6025 Espadon de FSC Dujin

Montage précédent : Mirage III V01
Montage suivant : Eurofighter Typhoon

Descriptions

Visuels

En parallèle du Mirage III VTOL, je prépare le montage de l'Espadon, version SO6025. Il n'a pas eu beaucoup de succès, même les 6020 lui ont survécu. Il n'est donc resté qu'à l'état de prototype, rapidement ferraillé. Il a été récupéré par miracle par les ailes anciennes toulousaines qui l'on découvert par Hazard chez un ferrailleur. De marque FSC Dujin, c'est un kit résine, du travail d'assemblage en perspective.

Dans la boite sont également fournis 2 verrières thermoformées, une plaque de photo découpe et une planche de décalcos.

Les pièces en résines brutes telles que proposées dans la boite.

Les mêmes éclatées, il faut finir de les ébarber.

 

Préparation des pièces et peinture.

Les trappes de train où se logent les roues quand ils sont rentrés sont bien creuses. Je fixe une plaque de plastique, pris sur les bords des verrières thermoformées. En effet, une fois peints en alu, ils donnent une apparence de tôle métallique. Il faudra encore peindre l'intérieur de ces plaques en noir car elles sont trop translucides.

 

Montage du poste de pilotage, peint en noir sauf le dossier en bleu et l'assise en marron. J'ai collé à la colle à bois une plaque peinte en blanc sous le tableau de bord en photo découpe peint en noir. ça donne un bel effet. Les petites pièces peuvent finalement être collées à la colle à bois qui, une fois sèche, tient aussi bien que la cyano, et est moins dangereuse... surtout pour les doigts. Mais il faut être patient !

Les grosses pièces sont collées à la cyano, mais je les bloque en les entourant de colle à bois qui, en plus, plombera un peu l'avant de la maquette. Avec une roue à l'avant, ça ne sera pas de trop.

 

Assemblage du fuselage, toujours délicat, rapport à la longueur, collé à la cyano... il faut viser juste dès le début, sinon le rattrapage est difficile. J'ai adopté une solution qui vaut ce qu'elle vaut mais qui a marché ici : j'ai assemblé à blanc, maintenu l'ensemble avec des pinces, et j'ai glissé la cyano par goutte au niveau des jointures. 4 h de séchage, on ne sait jamais...

et voilà le résultat. En revanche, les joints vont devoir être comblés, et pas qu'un peu. Pour cela, et systématiquement sur toutes les maquettes en résine, j'utiliserai de la cyano (bon marché bien sûr, n'allez pas prendre la marque phare) que je mélange à du talc ou à de la farine (si, si, ça marche aussi). Le travail de ponçage est important et il faudra passer plusieurs couches, mais ça marche du feu de dieu ! En en plus, ça consolide.

 

Pour l'assemblage des ailes et de la dérive, je perce des trous pour y loger des bouts d'épingles (où trombone, c'est bien aussi), qui serviront de guides. Je repère leur emplacement sur le fuselage et y perce également les trous pour l'emboitement.

Vue avant assemblage des guides métalliques et les trous qui les accueilleront ; il n'y a plus qu'à assembler, et boucher les joints, encore.

 

Si la première aile devait être bloquée à l'horizontale le temps du séchage, j'aime bien positionner l'autre à la verticale ; ça évite les calages et elle n'a pas tendance à bouger.

J'ai posé la partie dorsale derrière le pilote. Elle sera recouverte par la verrière mais une partie sera visible, donc je la peins en alu. Je peins également en noir en apprêt la partie arrière afin d'éviter une trop grande transparence de la résine, vu que le trou de la tuyère n'est pas obstrué.

 

J'ai prolongé la couche noire jusqu'à l'avant du poste de pilotage qui sera recouvert par la verrière.

Pose de la verrière, maintenue avec un elestic pas trop tendu pour éviter l'ecrasement, mais pour que la colle ait le temps de prendre.

 

Après le passage des parties transparentes au Maskol, peinture alu sur l'ensemble. J'ai dû m'y prendre à 3 reprises car des reliefs indélicats étaient trop visibles. Et même comme ça...

Montage des derniers éléments dont les trains en résine, puis viendront les volets en photodécoupe. Les trains comme les roues auront un renfort métalique pour bien tenir sur leur axe.

 

Vue de l'appareil sur roues.

Vraiment pas facile cette maquette et je n'en suis pas très content. Enfin, j'ai fini par poser les décalco, et passé du jus noir sur certains traits de structure.

Voir la fiche du l'Espadon
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